Bonjour,
Ma copine est tombée enceinte suite à nos retrouvailles après une séparation. Nous avons a priori conçu cet enfant le jour de l'ovulation présumée, mais vu quelle a eu un rapport non protégé une semaine avant avec son ex, il y a tout de même un doute sur la paternité.
Ma copine a surveillé ces taux hgc au jour près pour exclure le premier rapport. Nous avons pris la décision de le garder, en étant rassurés par les prises de sang qui indiquaient une montée du taux hcg au moment où cela coïncidait avec son ovulation présumée de notre rapport, puis par la gynéco avec laquelle nous avons été clair sur le fait qu'il y a eu un rapport une semaine avant.
Depuis, elle a prit la décision de se séparer de moi et de ce fait remet en cause ma paternité en presumant que son ovulation aurait eu lieu plus tôt finalement (24 jours au lieu de 27) alors que jusqu'à maintenant elle ne s'était jamais trompée sur ces cycles et nous avions jamais eu de surprises en étant vigilants.
Elle souhaite finalement qu'il serait plus profitable pour elle que ce soit le premier rapport qui l'ai fait tombée enceinte puis elle renoue avec son ex, me laissant totalement en dehors de la grossesse.
Elle souhaite se fier à l'échographie du premier trimestre pour exclure l'un des deux pères et en l'occurrence présenterais ce jour là les arguments en faveur du premier rapport.
Je suis un peu perdu dans tout cela, j'aimerai savoir d'une part si cette echographie peut être si précise pour exclure un des rapports d'un intervalle d'une semaine ?
Et d'autre part qu'est ce que je peux faire si elle préfères l'attribuer à son ex et pousse en ce sens sur la seule base de l'échographie, il persistera toujours un doute, surtout qu'elle ne souhaite pas faire de test adn ?
Je précise que je souhaite prouver les choses et assumer mon rôle de père quelque soit la situation future, qui m'est annoncée comme une séparation quoi qu'il arrive
Merci pour vos réponses
Ma copine est tombée enceinte suite à nos retrouvailles après une séparation. Nous avons a priori conçu cet enfant le jour de l'ovulation présumée, mais vu quelle a eu un rapport non protégé une semaine avant avec son ex, il y a tout de même un doute sur la paternité.
Ma copine a surveillé ces taux hgc au jour près pour exclure le premier rapport. Nous avons pris la décision de le garder, en étant rassurés par les prises de sang qui indiquaient une montée du taux hcg au moment où cela coïncidait avec son ovulation présumée de notre rapport, puis par la gynéco avec laquelle nous avons été clair sur le fait qu'il y a eu un rapport une semaine avant.
Depuis, elle a prit la décision de se séparer de moi et de ce fait remet en cause ma paternité en presumant que son ovulation aurait eu lieu plus tôt finalement (24 jours au lieu de 27) alors que jusqu'à maintenant elle ne s'était jamais trompée sur ces cycles et nous avions jamais eu de surprises en étant vigilants.
Elle souhaite finalement qu'il serait plus profitable pour elle que ce soit le premier rapport qui l'ai fait tombée enceinte puis elle renoue avec son ex, me laissant totalement en dehors de la grossesse.
Elle souhaite se fier à l'échographie du premier trimestre pour exclure l'un des deux pères et en l'occurrence présenterais ce jour là les arguments en faveur du premier rapport.
Je suis un peu perdu dans tout cela, j'aimerai savoir d'une part si cette echographie peut être si précise pour exclure un des rapports d'un intervalle d'une semaine ?
Et d'autre part qu'est ce que je peux faire si elle préfères l'attribuer à son ex et pousse en ce sens sur la seule base de l'échographie, il persistera toujours un doute, surtout qu'elle ne souhaite pas faire de test adn ?
Je précise que je souhaite prouver les choses et assumer mon rôle de père quelque soit la situation future, qui m'est annoncée comme une séparation quoi qu'il arrive
Merci pour vos réponses